Le Crétacé inférieur de l’Estramadura, au Portugal, m’apparaissait, lorsque j’en entrepris l'étude, comme un thème de recherches à la fois séduisant et redoutable. Séduisant, car tout examen systématique avait été abandonné depuis plus de soixante ans, en dépit de la présence de classiques ensembles stratigraphiques, de la richesse des faunes et de la variété des faciès. Redoutable, car il m’amenait à suivre les traces de cet illustre géologue que fut Choffat. Il était bien évident que je ne pouvais mener cette tâche à son terme que grâce à de nombreux et bienveillants appuis. J’en ai largement bénéficié, sinon même abusé. Il m’est donc particulièrement agréable de remercier aujourd’hui tous ceux qui, durant les longues années de travail, m’ont aidé, conseillé et encouragé. <...>